vendredi 15 novembre 2019

J'ai la Corrèze en cathéter !

Comme vous avez pu le voir si vous nous suivez un peu sur Instagram, au mois d'août dernier, nous sommes allés pédaler en Corrèze. Pour être un peu plus précis, nous avons vadrouillé en zig-zag entre Saint-Yrieix-la-Perche et Rocamadour. Et bien je vous le dis direct : la Corrèze à vélo, c'est trop bien.

Il est pas magnifique le carrelage ?
Considérez donc ce très court article comme un addendum au "petit palmarès des endroits dans lesquels envoyer des cyclistes".

mardi 15 octobre 2019

L'art du rangement des sacoches

Cet été, nous sommes reparti sur les routes de France. Pour un tour bien plus court que l'année dernière, certes, mais nous sommes effectivement remontés en selles !
Et nous avons donc réalisé les préparatifs de ce nouveau départ en nous disant : "Tranquille. On a déjà organisé une vadrouille de trois mois, on sait exactement ce qu'on doit prendre ou pas, on va tout préparer en un tour de main !". Et le fait est que nous avons pu très vite établir la liste exacte de ce que nous allions emporter avec nous.

Nous ne voyageons pas en ultra-light (ça veut dire "ultra-léger" pour les deux du fond qui ont pris allemand LV1) et même notre "minimum nécessaire" prend de la place : Nous portons un peu moins d'une vingtaine de kilos de bagages chacun. Avec le poids du vélo, ça fait environ 30 kg à tirer sur la route !
Et comme vous pouvez le voir sur cette image, tirer 30 kg sur des pentes à 9%... C'est pas une partie de plaisir !

dimanche 24 février 2019

Petit palmarès des endroits dans lesquels il ne faut PAS envoyer des cyclistes

En parallèle de l'article précédent, ce billet vous propose une liste des pires endroits par lesquels nous sommes passés, les faux bons plans et autres lieux qu'il conviendrait d'éviter si on est un cycliste un tant soit peu sensé. Je suis certains que nous sommes pas les seuls à ne pas apprécier dormir dans une zone industrielle désaffectée en bordure d'une autoroute... 

Enfin bref, c'est parti pour un tour d'horizons des endroits absolument pas (ou mal) pensés pour les cyclistes.

samedi 22 décembre 2018

Petit palmarès des endroits dans lesquels envoyer des cyclistes

Quatre-vingt jours, plus de quatre milles six cents kilomètres, croyez-nous, nous avons vu du paysage.
Parfois c'était un peu monotone. Je n'ai rien contre l'agriculture ou les voies fluviales, au contraire, mais il faut bien avouer que lorsqu'on passe quatre jours en rase campagne, ou trois jours le long d'un canal... Et bien les variations de paysages sont minimales.
Mais souvent, les paysages rencontrés étaient époustouflant. Je ne pourrais pas tout vous raconter, d'autant plus que certains lieux étaient magnifiques aussi de par l'atmosphère qui s'en dégageait et que je ne pourrais jamais retranscrire proprement avec des mots et/ou des images.

mercredi 19 décembre 2018

La nourriture - Bilan et pistes d'amélioration

Nous sommes partis assez motivés, avec plein de bonnes idées (que vous pouvez trouver ici) sur la préparation de la nourriture et les recettes. C'était bien joli sur la papier mais ça ne s'est pas déroulé aussi bien que prévu, pour plusieurs raisons : 
  • La fatigue, surtout la première semaine : on arrivait très tard aux étapes et on était extrêmement fatigués, on avait donc pas la motivation de faire bien à manger pour le soir ou pour le lendemain. On était tout aussi fatigués le matin, donc pas motivés non plus pour faire le repas du midi 
  • La consommation du réchaud : on avait pas prévu que les cartouches de gaz durerait aussi peu longtemps (une semaine et demi environ lorsqu'on l'utilisait le matin pour l'eau du thé et le soir pour notre tambouille), on a donc essayé de les économiser le plus possible. On s'est même retrouvés à court de gaz au plein milieu d'une cuisson de pâtes, heureusement un voisin de camping nous a prêté son réchaud. 
  • La chaleur : on était sur les routes au plus chaud de la saison, on était assez limités pour conserver les aliments, donc adieu les sauces, le fromage, et les fruits trop fragile. Ça a bien limité les possibilités.

mardi 6 novembre 2018

Nos vélos - Choix et bilan


Comme vous avez pu le lire sur l'article du choix des vélos (lien ici),  on avait un certain nombre de critères pour les choisir et on avait prévu d'être assez exigeants.

Au final, nous n'avons pas pu être aussi tatillon que nous le voulions. En effet, il n'y avait que deux magasins autour de chez nous qui proposaient des vélos pour la randonnée longue distance.
Le premier nous proposait un vélo de route qu'il équipait avec des équipement "de randonnée", à savoir des portes-bagages et des lampes. Nous avons tout de suite décidé de ne pas acheter nos vélos dans ce magasin, et ce pour plusieurs raisons : ce n'était juste pas ce que l'on cherchait, ça nous serait revenu cher pour une qualité moindre que celle d'un réel vélo de randonnée, mais aussi parce que le vendeur était assez insupportable et que j'ai du insister FORTEMENT pour qu'il daigne me parler technique et me donner précisément les gammes des différents éléments du vélo.
Il ne nous restait donc que le deuxième magasin, que je recommande fortement aux lorientais qui liraient cet article : le magasin Véloland à Caudan. Il avait assez peu de choix de modèle pour la randonnée, et on n'avait le choix qu'entre des vélos de randonnée pure à 1500€ (du top moumoute, si on avait les moyens on aurait pris ça) et des vélos de ville / randonnée courte à 600-800€ (selon les options de montage). Malgré ce choix limité, le vendeur était très agréable et a pris le temps de bien répondre à mes questions et de me conseiller. Pour des questions de budget on s'est orientés vers le vélo de ville / randonnée courte.
Une autre solution aurait été de les commander via internet pour avoir exactement le modèle qu'on souhaitait, mais les cinq ans de main d'oeuvre gratuite offertes avec l'achat des vélo à Véloland ont emporté notre décision. C'est tellement plus confortable de pouvoir avoir tous ses réglages faits au millimètre près par un professionnel plutôt que de les faire soi même.


vendredi 19 octobre 2018

Les pires ennemis du cyclotouriste

A peine rentrés du voyage, premier "gros" article du blog, et nous traitons des aspects négatifs du parcours ? Exactement. Voyez cela comme une catharsis. Alors oui, ce voyage de trois mois était superbe, mais bon... Disons que certaines parties ont été plus sympathiques que d'autres. La cause de ces "hauts et bas" est toute trouvée : la présence des prédateurs naturels du cyclotouristes !
Je vous propose donc ici un petit florilège des pire ennemis qu'un cyclotouriste puisse rencontrer ainsi que quelques méthodes pour limiter les dégâts.